
En redescendant de Darwin nous avons retrouvés des amis à Katherine gorge où nous avons pu voir un bushfire (feu de brousse) : ces feux sont pour certains naturels ; d’autres sont gérés par les rangers. Ce phénomène permet un équilibre de la faune et d’éviter des incendies dévastateurs en période de dry.
L'ambiance est chaude au camping !!!
Chauve-souris nombreuses dans le park, tout près du camping, sympa !!!

Grosse grenouille appelée can todd en prolifération dans l’état.

Devil’s marbles ou les billes du diable sur la route vers Alice. Selon les croyances aborigènes il s’agirait des œufs du serpent arc-en-ciel.
Dans le désert en direction d’Uluru on trouve quelques épaves de voitures, histoire de mettre en confiance !

Accueil au kings canyon par un dingo, chien sauvage d’Australie.

Rando vertigineuse à Kings canyon (6 km)


Rando à Kati Juta (7,4 km)


Et enfin rando à Ayers rock (9,4 km). Uluru en nom aborigène est certainement avec l’opéra de Sydney, l’image la plus connue d’Australie. Dommage que les nuages aient gaché le coucher de soleil.



Inscrit sur un grand panneau, il est recommandé de ne pas grimper sur le rocher par respect pour la culture aborigène sans compter des risques de chutes mortelles. Malgré cela l’ascension reste possible et de nombreux touristes arrivent en masse en tour organisé juste pour monter sur le rocher… Un peu désolant de voir les effets pervers du tourisme, d’autant plus que c’est un territoire aborigène.

J’ai surfé Ayers rock !!

Le sable est plus rouge que partout ailleurs en Australie.

Vue d’Alice springs (24 000 habitants) figure comme une grande ville au milieu du désert.



































